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Blog d'un jeune social-démocrate ouvert sur le monde
2 avril 2008

Le conseil Municipal de la mairie du XIIIème arrondissement

Fin de la séquence élection municipale qui avait vu la victoire sans appel de Jérôme Coumet dans le 13e arrondissement et de la victoire de Bertrand Delanoë à Paris.

Le conseil municipal est le suivant :

Jérôme Coumet a été élu Maire du 13e

Anne-Christine Lang, conseillère de Paris, 1ère adjointe, chargée de la petite enfance et des collèges  (PS)
Serge Blisko, adjoint au maire chargé des questions relatives au commerce, à l'artisanat, aux professions indépendantes et à l'emploi (PS)
Thierry Catelan, adjoint au maire chargé des questions relatives à la propreté et au traitement des déchets (PS)
Francis Combrouze, adjoint au maire chargé des questions relatives à l'urbanisme, à l'architecture et à l'habitat  (PC)
Claire Davy, adjointe au maire chargée des questions relatives aux seniors, au lien intergénérationnel et aux personnes en situation de handicap (PS)
Geneviève Dourthe, adjointe au maire chargée des questions relatives à l'aménagement de l'espace public et aux transports (PS)
Florence Lamblin, adjointe au maire chargée des questions relatives au développement durable, à l'environnement et au plan climat  (Vert)
Micheline Laville, adjointe au maire chargée des questions relatives à l'animation des quartiers et aux relations avec les associations  (PS)
Laurent Miermont, adjoint au maire chargé des questions relatives à la prévention, la sécurité et aux relations avec les bailleurs sociaux  (PS)
Eric Offredo, adjoint au maire chargé des questions relatives aux affaires sociales, à la politique de la ville et à la lutte contre l'exclusion  (PS)
Danièle Seignot, adjointe au maire chargée des questions relatives aux espaces verts  (PS)
Buon-Huong Tan, adjoint au maire chargé des questions relatives au développement économique  
Eric Taver, adjoint au maire chargé des questions relatives à la démocratie locale et aux conseils de quartier (PS)
Fatima Yadani, adjointe au maire chargée des questions relatives à la jeunesse, à l'intégration et à l'égalité femmes-hommes  (PS)

Sont élus au Conseil de Paris :

Marie-Annick Barthe, conseillère de Paris déléguée aux sports  (PS)
Philippe Moine, conseiller de Paris délégué à la culture  (PS)
Annick Olivier, conseillère de Paris déléguée aux écoles  (PS)
Emmanuelle Becker, conseillère de Paris  (PC)
Jean-Bernard Bros, conseiller de Paris  (PRG)
Yves Contassot, conseiller de Paris  (Vert)
Marie-Pierre de la Gontrie, conseillère de Paris (PS)
Bruno Julliard, conseiller de Paris
Jean-Marie Le Guen, conseiller de Paris  (PS)

Sont élus au Coneil d'arrondissement sans poste fixe :

Marigrine Auffray-Milésy, conseillère d'arrondissement  (PS)
Camille Brinet, conseillère d'arrondissement  (PS)
Dorothée Collet, conseillère d'arrondissement  (PS)
Jean-Luc Dumesnil, conseiller d'arrondissement   (Vert)
Michèle Lorthois, conseillère d'arrondissement déléguée à la mémoire et au monde combattant  (PC)
Jérôme Relinger, conseiller d'arrondissement délégué aux nouvelles technologies de l'information et de la communication  (PC)
Mylène Stambouli, conseillère d'arrondissement  (Vert)
Etienne Traisnel, conseiller d'arrondissement  (PS)
Joseph Yakete, conseiller d'arrondissement (PS)

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Commentaires
D
PLUS PETITE PRESTATION<br /> POUR<br /> PROFITS PLEINS POTS<br /> <br /> http://www.archicool.com/cgi-bin/presse/pg-newspro.cgi?id_news=6439<br /> <br /> <br /> PPP - Ou situer l’intérêt public ? Ou commence la mise en danger d’autrui ? L’exemple de l’université Paris Diderot <br /> <br /> 14/04/2010 Polémique parisienne, un des premiers P.P.P ( Partenariat-Public-Privé ) entre les universités parisiennes, semble battre de l’aile. L’édifice à construire se situe au coeur de Paris-rive-Gauche, au dessus de futures voies ferrées. Cet édifice à destination universitaire fait l’objet d’un PPP, la maîtrise d’ouvrage en étant l’Université Paris VII, par ailleurs engagée dans un jeu de chaises musicales du fait de la rénovation du campus de Jussieu. <br /> <br /> L’Université est représentée par François Montarras, vice-président de l’Université, architecte de formation, sensé défendre les intérêts universitaires, donc du contribuable. L’entreprise lauréate est la société Vinci, l’équipe de conception est ici représentée par Philippe Blandin, architecte, qui n’a pas les yeux dans sa poche, et ne décolère pas. <br /> <br /> Comme chacun le sait, chaque typologie de bâtiment se voit attribuer une obligation de satisfaire à une surcharge d’exploitation donnée. En clair le logement c’est 125 Kn/m2, le tertiaire c’est 250Kn/m2, et les universités ce sont 400Kn/m2. Ces chiffres, décidés de façon législatives, sont sans doute sujet à caution, mais ils correspondent à la norme définie. Il n’est donc pas aisé, par exemple, d’aménager une université dans un immeuble initialement conçu pour le tertiaire, même si les coefficients de sécurité sont conséquents : ( de près de 1,7,) <br /> <br /> Qu’à cela ne tienne, par un savant jeu d’optimisation l’entreprise ne peut résister à adapter les projets de construction quitte à “parcelliser chaque plateau en fonction de l’affectation présente des espaces. Ainsi un plateau se retrouve avec une salle de conférences à 500Kn/m2, mais enclavée sur un plateaux à 250 Kn/m2. Cherchez l’erreur.. Pire le découpage devient si complexe pour certains niveaux, qu’il obère définitivement tout réaménagement possible des plateaux à l’avenir. Qui se souviendra dans dix ans que ces espaces de bureaux ne peuvent être affectés à la surcharge des laboratoires ? des salles de cours ? <br /> A l’échéance du P.P.P, l’entreprise se doit de rendre les locaux en bon état, même si l’aménagement général sera périmé et intransformable. <br /> <br /> L’obligation des 400Kn/m2 pour les bâtiments universitaires n’est pas respectée. <br /> <br /> Se rendant compte de cette situation les architectes ne voulant engager leur responsabilité en concevant des locaux universitaires aux seules normes du tertiaire, refusent un tel état de fait. Curieusement la maîtrise d’ouvrage, pourtant concernée par l’adaptabilité de son édifice et de son respect des normes, semble fermer les yeux et se range du coté de l’entreprise, du coté du plus fort, sans doute pour se rassurer. <br /> Une particularité très française, les commissions de sécurité s’inquiètent du respect des réglementations incendie.... pas des surcharges d’exploitation. Personne ne viendra donc contrôler le respect de la réglementation en ce qui concerne la capacité de résistance des dalles. Une dalle c’est du béton et de coûteuses armatures métalliques. <br /> <br /> Cependant si demain un accident survient, les documents sont rédigés pour laisser penser que les surcharges d’exploitation ne sont pas connues au moment de la conception, ce qui dégagerait la responsabilité de presque tout le monde, sauf de l’architecte qui au titre du conseil est responsable de voir venir le loup, subtil non ? <br /> <br /> Récompense de l’honnêteté et de la défense de l’intérêt général, les architectes ont été remercié par Vinci.... Veni, vidi, quoi ? <br /> <br /> Mais Paris VII semble prendre certaines libertés avec les surcharges d’exploitation. Ainsi le jardin coréen aménagé dans le bâtiment conçu précédemment par le bandolien Rudy Ricciotti, terrasse sur laquelle donne des dégagements, ne dépasse pas les 250Kn/m2, ce qui est trop faible par rapport aux normes concernant les terrasses, mais surtout il ne faut rien dire... Ce que font les trois autres équipes d’architectes également retenues sur trois autres bâtiments dans le cadre de ce P.P.P. <br /> <br /> Jérôme Auzolle
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