Il est interdit d'interdire!

Mais on pourrait pas faire une petite exception pour Didier Barbelivien?

Merci Luc.

Comments

[Le cyclone]

Du grand art ! Je crois que Didier a enfin trouvé un remplaçant à Felix Gray : il était temps !

[Marsipulami]

ça me fait penser..sur le net, on trouve plein de sites avec les affiches de "1968", percutantes, je me rappelle d'une avec des engrenages et qui peut tout à fait s'appliquer de nos jours "Brisons les vieux engrenages"...

Ce qui m'étonne c'est la "fraicheur" conservée par beaucoup de ces affiches, à part bien sûr celles trop connotées idéologiquement voir marxisantes, mais pour le reste..on sent le poids de la jeunesse, cette volonté de changer la société et puis..à l'époque on s'opposait à l'ordre, à ses profs, à ses parents..maintenant les jeunes réclament plus d'enseignants, une sureté dans leurs parcours, une petite quiétude douillette..

Il y a plein de causes de mécontentement potentiel mais un conformisme total, une boboisation rampante dans tous les centres villes.

J'ai vu aussi sur le cable..une très belle émissioon "témoignage" sur les fameux "Mao"(..ah les défiles avec le petit livre rouge, les défiles en criant Ho Ho Ho..)de 1968, avec le parcours tracé honnetement de militants en 1968..se retrouvant avec les portes fermées devant les usines d'ouvriers (merci la CGT..) et expliquant leur mépris pour les organisations syndicales traditionnelles, leurs méthodes de noyautage dans les usines..les sabotages..le déclenchement des mouvements (même dans les prisons, ils arrivaient à faire de l'agit prop !)...et aussi leur "spleen", les dépressions "post 1968" lorsqu'il a fallu arrêter le travail militant et retravailler avec des ordres, des chefs, et qu'ils se sont retrouvés encore plus..surveillés, voir marginalisés au sein des entreprises.

Tout le passage sur la transition (ou non) vers la lutte armée est instructif (vu les discours radicaux, les attaques sur l'Etat/les patrons/les professeurs..), on y voit..que ça a dérapé salement à l'étranger (RAF, Brigade Rouge), alors que chez nous..les Maos ont souvent dissous leurs propres organisations, n'ont pas été (sauf de très rares cas) parties prenantes dans de telles opérations.

Ce qui était fascinant, c'était avant tout de voir le bouillonnement (avec la césure entre le monde ouvrier et le monde estudiantin) dans les débats "à l'air libre", devant les usines, dans les universités..il y avait quand même là un moment politique "fort", un besoin vital pour beaucoup, sans oublier tous les changements pour les femmes....et puis c'est un mouvement qui n'a pas vocation à la prise de pouvoir, un peu incomplet et inabouti...par inefficacité de la gauche "démocratique" de l'époque.

Ah oui..as tu vu la vidéo TV PS sur Melenchon et son Mai 1968 ?
Il était sur les tables, en leader, dans une école..et "Interdit d'Interdire" c'était pas un slogan de 68...pas plus que l'envie des jeunes ados d'aller dans le dortoir des filles..
Non, pour Meluch 68 est bien plus sérieux, théorisé, dogmatisé, marxisé que celà..
le grand soir révolutionnaire (je crois qu'il a été au PCML), enfin maintenant il est sénateur PS et fait l'éloge de la chine...

C'est marrant comment on perçoit les évenements avec le recul..je préfère le "juif allemand" qui montrait son téléphone portable avec sa célèbre photo "souriante", devant un casque de CRS...en disant ne rien regretter...

On est pas sérieux quand on est jeune..et si c'était celà aussi 68 avec derrière une joie de faire partie de l'Histoire, d'écrire des pages..

Aussi sincérement Sarko fait un faux procés à Mai 1968, un mouvement comme celà se respecte.

[Marsipulami]

ça me fait penser..sur le net, on trouve plein de sites avec les affiches de "1968", percutantes, je me rappelle d'une avec des engrenages et qui peut tout à fait s'appliquer de nos jours "Brisons les vieux engrenages"...

Ce qui m'étonne c'est la "fraicheur" conservée par beaucoup de ces affiches, à part bien sûr celles trop connotées idéologiquement voir marxisantes, mais pour le reste..on sent le poids de la jeunesse, cette volonté de changer la société et puis..à l'époque on s'opposait à l'ordre, à ses profs, à ses parents..maintenant les jeunes réclament plus d'enseignants, une sureté dans leurs parcours, une petite quiétude douillette..

Il y a plein de causes de mécontentement potentiel mais un conformisme total, une boboisation rampante dans tous les centres villes.

J'ai vu aussi sur le cable..une très belle émissioon "témoignage" sur les fameux "Mao"(..ah les défiles avec le petit livre rouge, les défiles en criant Ho Ho Ho..)de 1968, avec le parcours tracé honnetement de militants en 1968..se retrouvant avec les portes fermées devant les usines d'ouvriers (merci la CGT..) et expliquant leur mépris pour les organisations syndicales traditionnelles, leurs méthodes de noyautage dans les usines..les sabotages..le déclenchement des mouvements (même dans les prisons, ils arrivaient à faire de l'agit prop !)...et aussi leur "spleen", les dépressions "post 1968" lorsqu'il a fallu arrêter le travail militant et retravailler avec des ordres, des chefs, et qu'ils se sont retrouvés encore plus..surveillés, voir marginalisés au sein des entreprises.

Tout le passage sur la transition (ou non) vers la lutte armée est instructif (vu les discours radicaux, les attaques sur l'Etat/les patrons/les professeurs..), on y voit..que ça a dérapé salement à l'étranger (RAF, Brigade Rouge), alors que chez nous..les Maos ont souvent dissous leurs propres organisations, n'ont pas été (sauf de très rares cas) parties prenantes dans de telles opérations.

Ce qui était fascinant, c'était avant tout de voir le bouillonnement (avec la césure entre le monde ouvrier et le monde estudiantin) dans les débats "à l'air libre", devant les usines, dans les universités..il y avait quand même là un moment politique "fort", un besoin vital pour beaucoup, sans oublier tous les changements pour les femmes....et puis c'est un mouvement qui n'a pas vocation à la prise de pouvoir, un peu incomplet et inabouti...par inefficacité de la gauche "démocratique" de l'époque.

Ah oui..as tu vu la vidéo TV PS sur Melenchon et son Mai 1968 ?
Il était sur les tables, en leader, dans une école..et "Interdit d'Interdire" c'était pas un slogan de 68...pas plus que l'envie des jeunes ados d'aller dans le dortoir des filles..
Non, pour Meluch 68 est bien plus sérieux, théorisé, dogmatisé, marxisé que celà..
le grand soir révolutionnaire (je crois qu'il a été au PCML), enfin maintenant il est sénateur PS et fait l'éloge de la chine...

C'est marrant comment on perçoit les évenements avec le recul..je préfère le "juif allemand" qui montrait son téléphone portable avec sa célèbre photo "souriante", devant un casque de CRS...en disant ne rien regretter...

On est pas sérieux quand on est jeune..et si c'était celà aussi 68 avec derrière une joie de faire partie de l'Histoire, d'écrire des pages..

Aussi sincérement Sarko fait un faux procés à Mai 1968, un mouvement comme celà se respecte.

[Nazma FOURRE]

On dit toujours après la pluie viendra le beau temps mais selon les sondages, ce n'est pas le beau temps que nous apporte le Président avec ses réformes drastiques. Depuis son election, on s'impatiente en attendant le soleil mais les manifestations trahissent le mécontentement general. on sera tenté de croire à une faute d'experience de sa part de nous gouverner et on s'efforce de croire en sa bonne foi de changer la France mais à quel prix? Les caisses sont vides et nous en payons les frais malgré que nos impôts en font part de leurs contributions. La santé n'a pas de prix mais elle sera coûteuse avec la franchise médicale. Le taux de chommeurs augmentent mais Monsieur Sarkozy veut faire travailler nos aînés et dégraisser le nombre de fonctionnaires. La privatisation des hôpitaux s'annoncent à petits feux avec la fusion des cliniques privées et la délocalisation des établissements. La reforme universitaire qui va être instaurée ressemble à une privatisation malgré que ce n'est pas une mesure phare qui diminuera le taux d'echec de 80 pourcent en première année de droit. Ainsi fallait-il mieux offrir aux étudiants la chance d'accéder automatiquement en deuxième année leur permettant de valider leur licence qu'à la fin de leur parcours au lieu de leur donner un dosage bourratif des cours s'echelonant sur deux semestres de courte durée. Que dire de ces réformes? La France est en dépression!
Nazma FOURRE

[Nazma FOURRE]

On dit toujours après la pluie viendra le beau temps mais selon les sondages , ce n'est pas le beau temps que nous appporte le président avec ses réformes drastiques. Depuis son election, on s'impatiente pour attendre impatiemment le soleil mais les manifestations trahissement le mécontentement général. On sera tenté de croire à une faute d'experience de sa part de nous gouverner et on s'efforce de croire en sa bonne foi de changer la France mais à quel prix? Les caisses sont vides et nous en payons les frais malgré que nos impôts en font part de sa contribution. La santé n'a pas de prix mais elle sera coûteuse en France avec la Franchise Médicale.Le taux de chomeurs augmentent mais Monsieur Sarkozy veut faire d'une part travailler plus nos aînés et d'autrepart dégraisser le nombre de fonctionnaires qui partent à la retraite.La privatisation des hôpitaux s'annoncent à petits feux avec la fusion des cliniques privées et la délocalisation des établissements. La réforme universitaire qui va être instauré ressemble à une privatisation malgré que ce n'est pas une mesure phare qui diminuera le taux d'echecde 80 pourcent en première année de droit .Ainsi fallait il mieux offrir aux étudiants la chance d'accèder automatiquement en deuxième année et valider leur licence qu'à la fin de leur cursus au lieu de leur donner un dosage bourratif des cours s'échelonnant sur un semestre minime.
Que dire de ces réformes!!!
Nazma FOURRE