Martine Aubry Reims le Congrès Socialiste
Sous les bravo et les ovations, Martine Aubry, hier après-midi a soulevé les militants socialistes réunissant sous ses applaudissements des socialistes de toutes motions confondues. La suite logique à cette ovation était sa candidature. Candidature dont elle ne pouvait et ne voulait faire un préalable, elle nous l'a dit et ré-affirmé en AG de motion.
Durant la nuit des longs couteaux socialistes, elle a proposé, après des heures de débats finalement stériles où chacune des trois motions en présence -Ségolène Royal claqua la porte au bout de 3 petites heures- voulait absolument proposé son candidat et où à chaque fois, je le répète et l'affirme à chaque fois, elle donnait son soutien au candidat présenté des motions A (Delanoë) et C (Hamon), sa candidature. Malheureusement, les deuc autres motions en présence l'on refusé et la commission des résolutions s'est terminé sur un constat d'échec. Ce matin Benoit Hamon était tujours candidat et Martine Aubry à la tribune annonça sa désignation de briguer la tête du Parti Socialiste.
Dans son discours, Martine Aubry explique son désaccord envers Royal sur quatre points principaux : le social, le pouvoir d'achat, l'Europe et les alliance. Points sur lesquels, elle s'était mis d'accord avec Delanoë et Hamon. Mais ceux-ci ont préféré une autre voie.
Désormais, avec trois candidats déclarés, le Congrès Socialiste pourra offrir une orientation. L'interrogation se porte sur Bertrand Delanoë. Que fera-t-il? Qui soutiendra-t-il? Quel message sera-t-il diffusé dans les sections?
Une autre interrogation doit nous faire réfléchir. Les médias montreront un parti divisé et Sarkozy se marre déjà. Par quel moyen pourrons-nous renverser cette état de fait. A cela, je n'ai qu'une réponse : la démonstration par la preuve!
Alors, au boulot les socialos!
Source leftblogs